Aller au contenu principal

Plusieurs solutions pour nettoyer les logettes

Certains éleveurs ont décidé de mécaniser la tâche récurrente que représentent l'entretien et le nettoyage des logettes.

La pailleuse automotrice est la solution la plus confortable.
La pailleuse automotrice est la solution la plus confortable.
© Réussir

Trois systèmes se partagent actuellement le marché du nettoyage des logettes : un modèle à conducteur marchant, un modèle attelé à un tracteur ou un automoteur. Suivant la gestion de l'effluent, fumier ou lisier, le type de stockage, en fosse ou caillebotis, les temps d'entretien diffèrent, les équipements aussi.

Outil attelé
Le modèle le plus simple et le moins cher du marché est certainement la balayeuse attelée à l'avant ou à l'arrière du tracteur ou sur n'importe quel engin de manutention, via une interface. Il se caractérise par un balai de grand diamètre, avoisinant le mètre, et par le choix de fibres, en acier enrobé de caoutchouc pour les surfaces rugueuses ou en polypropylène pour les surfaces plus délicates. Au travail, la machine se déporte jusqu'à 1,50 m.

Conducteur marchant
Le modèle de balayeuse avec conducteur marchant est un modèle intermédiaire entre la balayeuse classique et le modèle automoteur. Le balayage est réalisé avec une brosse comprise entre 50 et 90 m de diamètre. Comme sur une balayeuse classique, la brosse est réglable en hauteur et en profondeur. Si elle en est équipée, les matériels de distribution de litière se différencient selon leur capacité et la nature du produit : les bacs de faible capacité (moins de 100 litres) sont adaptés pour un apport d'asséchant sans litière.

Automoteur
La solution automotrice est de loin la plus confortable mais aussi la plus onéreuse. À l'avant de l'engin, une brosse rotative entraînée hydrauliquement peut, suivant les modèles, s'orienter grâce à un bras articulé. Un vérin hydraulique permet d'ajuster son positionnement. La brosse assure le balayage des logettes sur une bande de 60 à 90 centimètres. Une soufflerie permet de saupoudrer simultanément de la sciure ou de la paille. La transmission est hydrostatique.

Plus d'infos dans le journal Agri 79 du 1er avril 2016

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

Intempéries de printemps : cas de force majeure reconnu pour tout le département

Les fortes intempéries intervenues en sortie d’hiver et au printemps ont, pour certaines exploitations, empêché les semis…

Un collectif s'est constitué pour faire une offre de rachat de la Ferme de la Combe.
Adriers : une vente d'exploitation controversée

Membres de la Confédération Paysanne 86, adhérents de l'association des Prés survoltés, élus et particuliers : ils…

Roxane et Abdarrahman Wadih dans le food-truck : "Chez Wadih cheese naan".
Un food-truck aux saveurs indiennes débarque à Barbezieux
Abdarrahman Wadih lance son food-truck de naans, une spécialité de pain indien, à Barbezieux. Ouverture prévue le 13 mai.
Vendredi dernier, Hervé Jacquelin constatait que le niveau du Salleron était plutôt haut.
Hmuc : des objectifs inatteignables ?
Si l'étude Hmuc de la Creuse était appliquée, plusieurs rivières de la Vienne auraient déjà été en alerte. C'est le cas du…
Michel Cousseau retrace dans cet ouvrage le récit que son papa lui a fait le jour de ses 92 ans de son enfance, dans les Deux-Sèvres et la Vienne.
La vie des paysans du Poitou dans un livre
Dans son dernier livre, Michel Cousseau raconte la vie presque ordinaire d'Alexandre, son papa. Pas tout à fait ordinaire, parce…
Lionel Simon (2e à gauche), entouré de ses salariés : Dylan Jaulin, Flavie Gourbault, Floriane Cousineau.
"Je fais du lait en individuel avec des salariés"

Suite au départ de son associé, Lionel Simon, à La Peyratte, a choisi de garder le troupeau laitier et d'organiser la main d'…

Publicité