Charolaise
2011 l’année de tous les extrêmes
Charolaise
Sélectionneurs et engraisseurs apprennent à travailler ensemble. Une satisfaction pour Thierry Baudouin, président de l’association des éleveurs de charolaises.

Une assemblée générale placée sous le signe de l’optimisme.
©
C. P.
«Finalement 2011 aura été une belle année », juge Thierry Baudouin. Jeudi 5 avril, dans les locaux du campus des Sicaudières, le président de l’association des éleveurs de la race charolaise des Deux-Sèvres exprimait une certaine satisfaction à l’évocation de l’activité de la structure.
« Les Conviviales d’automne ont été une réussite. Au salon à Paris, la barre de boucherie, occupée par des animaux de la région, a défendu les couleurs de l’élevage allaitant en Poitou-Charentes. Par ailleurs, la vente à la station d’évaluation, fin mars, a rencontré un franc succès. »
Ce qui satisfait par-dessus tout Thierry Baudouin, c’est la présence des engraisseurs aux côtés des sélectionneurs dans les concours. « Nous avons tout à gagner à travailler ensemble. » Le responsable espère que « le pli est pris ». C’est ensemble que ces deux branches de la grande famille de l’élevage charolais avanceront efficacement, explique le responsable.
L’amélioration des cours sur 2011 est une troisième nouvelle réjouissante. Au printemps, la sécheresse a suscité une certaine angoisse chez les éleveurs. « Les pluies de l’été ont permis de compenser les déficits fourragers. Le prix de la viande ces derniers mois permet à chacun d’assainir sa trésorerie. » Pourvu que ça dure … et que la pluie vienne. Au terme d’un hiver peu humide, la perspective d’un nouveau printemps 2011 n’enchante pas les troupes.
« Les Conviviales d’automne ont été une réussite. Au salon à Paris, la barre de boucherie, occupée par des animaux de la région, a défendu les couleurs de l’élevage allaitant en Poitou-Charentes. Par ailleurs, la vente à la station d’évaluation, fin mars, a rencontré un franc succès. »
Ce qui satisfait par-dessus tout Thierry Baudouin, c’est la présence des engraisseurs aux côtés des sélectionneurs dans les concours. « Nous avons tout à gagner à travailler ensemble. » Le responsable espère que « le pli est pris ». C’est ensemble que ces deux branches de la grande famille de l’élevage charolais avanceront efficacement, explique le responsable.
L’amélioration des cours sur 2011 est une troisième nouvelle réjouissante. Au printemps, la sécheresse a suscité une certaine angoisse chez les éleveurs. « Les pluies de l’été ont permis de compenser les déficits fourragers. Le prix de la viande ces derniers mois permet à chacun d’assainir sa trésorerie. » Pourvu que ça dure … et que la pluie vienne. Au terme d’un hiver peu humide, la perspective d’un nouveau printemps 2011 n’enchante pas les troupes.