réserves de substitution
Agricole ou écologique, la notion de transition divise
Pro et anti enchaînent les communications. Bassines non merci veut développer de nouvelles formes de résistance au projet pour empêcher sa réalisation quand la Coop de l’eau objective la transition agricole que permettra le stockage.
Pro et anti enchaînent les communications. Bassines non merci veut développer de nouvelles formes de résistance au projet pour empêcher sa réalisation quand la Coop de l’eau objective la transition agricole que permettra le stockage.
Le collectif Bassines non merci (BNM) ne décolère pas à l’idée que l’État continue de soutenir le projet des 16 réserves sur le bassin Sèvre niortaise-Mignon, avec des crédits du ministère de l’agriculture émanant du plan de relance. « Il s’agit d’argent public, dédié à la transition écologique et utilisé pour un projet qui va à l’encontre du cycle naturel de l’eau. À l’heure où le gouvernement vient de légiférer sur le délit d’écocide, ce soutien est schizophrène », entend-on lors de la conférence de presse organisée le 10 décembre par le collectif et ses soutiens.