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Alain Chabauty souhaite une profession mobilisée pour aller plus loin

Concédant que seul on va plus vite, Alain Chabauty juge en revanche qu’ensemble on va plus loin. À l’occasion des vœux, le président de la Fnsea 79 souhaite, en ces temps difficiles, que le sens du collectif reste vif. Mobilisés, les agriculteurs continueront d’avancer.

Malgré une année 2016 difficile, Alain Chabauty voit néanmoins des signes favorables pour l’avenir comme la hausse du prix de la viande bovine et des produits industriels
laitiers ou encore le travail effectué auprès des GMS sur le cœur de gamme.
Malgré une année 2016 difficile, Alain Chabauty voit néanmoins des signes favorables pour l’avenir comme la hausse du prix de la viande bovine et des produits industriels
laitiers ou encore le travail effectué auprès des GMS sur le cœur de gamme.
© C.P.

À chaque nouvelle année on attend le renouveau. 2017 aura à peine laissé le temps de l’espoir aux acteurs de la filière avicole. L’année commence par deux cas avérés de grippe aviaire sur le territoire. Un contexte difficile alors que l’heure est aux vœux.
Effectivement. Néanmoins, même dans les moments difficiles, la tradition des vœux a du sens. Elle témoigne de l’égard que les gens se portent. L’Homme et son avenir sont les raisons d’être du syndicalisme. C’est donc avec sincérité et quel que soit le contexte que je souhaite à chacun, à tous les agriculteurs du département et à leur famille, mes meilleurs vœux pour l’année qui s’annonce. Je leur souhaite la santé nécessaire pour avoir la force d’avancer. Je leur souhaite de s’épanouir dans leur vie privée comme dans leur vie professionnelle. Un dernier souhait qui dépendra à l’évidence de la situation sanitaire des élevages nous rappelle malheureusement l’actuelle activité virale du H5N8 qui sévit dans notre département mais également pour partie au contexte économique agricole influencé par les politiques développées et l’ambition qu’elles portent pour notre agriculture.

Concernant l’épisode de grippe aviaire, le type N8 a été confirmé en début de semaine. Une réalité inquiétante ?
Oui, bien entendu. Et particulièrement parce que ce virus est reconnu comme contagieux. Il est indispensable que les mesures de biosécurité soient déployées dans les élevages, que ces pratiques deviennent des réflexes professionnels. Il y va de l’avenir des ateliers mais également de la filière en général, qui peut souffrir de la fermeture de marchés, particulièrement à l’export. Si les exploitations peuvent être mises à mal par ces cas d’influenza aviaire, le risque économique pour une bonne partie du territoire est important. Les emplois en amont et en aval de la production sont nombreux dans notre région.

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