On reste vigilants !
À Chauray, les pompiers au bout du fil
Une fois par mois, la rubrique s’étoffe d’un article plus élargi sur le Service départemental d’incendie et de secours 79 et ses liens avec l’agriculture. Aujourd’hui, découverte du centre de traitement des appels, à Chauray.
Une fois par mois, la rubrique s’étoffe d’un article plus élargi sur le Service départemental d’incendie et de secours 79 et ses liens avec l’agriculture. Aujourd’hui, découverte du centre de traitement des appels, à Chauray.
Une blessure, un départ de feu dans un champ : en agriculture, les occasions de composer le 18 ou le 112 ne manquent malheureusement pas, peut-être davantage l’été. Que se passe-t-il de l’autre côté du combiné ? Dès qu’un appel est lancé, il arrive à Chauray, au centre de traitement de l’alerte (CTA), où une équipe de trois opérateurs (deux la nuit) œuvre autour du chef de salle. C’est dans ce centre névralgique que sont reçues toutes les alertes du département. Les traiter est « un métier à part », confie-t-on volontiers. « Se tromper d’adresse, mal comprendre une information peut faire chavirer tout le navire ensuite ».