Coopérative Terre Atlantique : S’inscrire dans une démarche coopérative «vraie»
Coopérative céréalière, la gouvernance mise sur des sources
de progrès et veut démontrer qu’elle est un «acteur sur le territoire.»
l’horizon 2020. Objectif : «le développement de l’activité sur
le territoire au bénéfice des adhérents» autour de 5 domaines d’activité stratégiques : expérimentation,
semences, approvisionnement, services, céréales-collecte.
Tâter le pouls de la coopérative. Chaque année, comme dans les autres coops, on prend prétexte de l’assemblée générale, de son «passage obligé», pour revenir en arrière. Précisément sur la campagne 2015-2016 : les conduites culturales, la récolte (400 kt), la commercialisation et les résultats de l’entreprise coopérative à cette date. La figure imposée s’enrichit des dernières données, celles de la récolte d’il y a quelques mois (365 kt), celles des prix depuis. Loin de verser dans la sinistrose, «puisque les chiffres ne l’alimentent pas dans notre territoire», Christian Cordonnier, le directeur de Terre Atlantique ramène sans cesse l’analyse sur «les fondamentaux.» A l’écouter disserter sur les enjeux et les orientations de la coopérative angérienne, nul doute que l’assise est là : faire de la valeur ajoutée dans le territoire pour rémunérer l’adhérent.
Lire la suite dans notre édition du 25 novembre