Coup de projecteurs sur la maison Pierre Lecat
Le 4 mai, une dizaine de journalistes spécialisés dans les spiritueux ou dans le lifestyle ont découvert la marque Pierre Lecat, basée à Saint-Fraigne et lancée en 2014.
L’aventure a démarré en 2012. A Saint-Fraigne, Jean-Luc Lassoudière, son fils Aurélien, Dominique et Françoise Montez, Hélène Audouin Lassoudière et Yann Hamonou ont fait naître une nouvelle marque de cognac officiellement lancée en 2014 : Pierre Lecat SAS, « l’horloger du cognac », en hommage au beau-père de Jean-Luc Lassoudière et grand-père d’Aurélien, horloger local ayant investi dans la ferme au milieu du XXe siècle.
Cinq ans plus tard, la petite maison de cognac a fait du chemin. On la retrouve chez des cavistes de renom et sur de grandes tables parisiennes comme le Hilton Opéra, l’Hôtel du collectionneur ou Bissac. Cette petite marque qui monte suscite la curiosité.
Le 4 mai, une dizaine de journalistes spécialisés a fait le déplacement jusque dans le vignoble cognaçais pour la découvrir. « L’idée de ce voyage de presse est de montrer la façon dont travaille une petite maison, du début jusqu’à la fin, c’est-à-dire de la terre à la bouteille », explique François Sommer, fondateur de L’explorateur du goût en 2016 (importateur et distributeur de spiritueux) à l’initiative de cette journée pour promouvoir sa société et le cognac « haut de gamme » Pierre Lecat.
Accord mets et cognacs
Arrivés vers 12h30 au Gaec du Champ du frêne, au nord-est du cru des Fins Bois, les journalistes parisiens ont dégusté la gamme de cognacs Pierre Lecat, dans la distillerie, au fil d’un repas concocté par Le Compostelle, basé à Tusson : en entrée, un maigre fumé accompagné d’un VS instinct glacé, pour le plat, une cannette laquée, son riz cantonais et un VSOP expérience, et au dessert, un moelleux chocolat sublimé par un XO mémoire.
A cette occasion, les associés ont présenté l’organisation de leur exploitation viticole ainsi que le travail du sol tourné vers une viticulture raisonnée, et ont partagé leur histoire…
Lire notre article en page 9 de l'édition du 18 mai.