Fourrages
Foin et prairies : une stratégie à part entière
Lors d’une rencontre technique se tenant dans le cadre du programme Re-Sources (qualité de l’eau) le 9 septembre, les époux Moreau (Ferme de Chiloup), la Caveb et Pasquier Vgt’Al ont présenté leur vision croisée de ce que peut apporter le bilan fourrager.
Lors d’une rencontre technique se tenant dans le cadre du programme Re-Sources (qualité de l’eau) le 9 septembre, les époux Moreau (Ferme de Chiloup), la Caveb et Pasquier Vgt’Al ont présenté leur vision croisée de ce que peut apporter le bilan fourrager.
Le lieu est plutôt symbolique ce jeudi matin de septembre : venus assister à une réunion intitulée « réaliser ses stocks fourragers en s’adaptant aux aléas climatiques », une vingtaine d’agriculteurs des environs de La Chapelle-Bâton se sont retrouvés au milieu du séchoir à foin d’une capacité de 900 tonnes, et plein à ras-bord ! L’année s’annonçait pourtant plutôt mal en avril, où la sécheresse sévissait. « Je n’avais qu’une case – sur les huit du séchoir – de remplie. J’ai semé de l’Erogastis tef , j’ai fauché du ray-grass… » évoque Charles Moreau, éleveur de Limousines à la ferme de Chiloup.