Aller au contenu principal

Gestion de l’eau : la préfète veille au grain

Jeudi 26 janvier, Christiane Barret, préfète des Deux-Sèvres, évoquait les dossiers de l’année 2012. La gestion de l’eau sera au cœur des préoccupations de la représentante de l’Etat.

Christiane Barret, préfète des Deux-Sèvres et Laurent Simplicien, directeur de cabinet de la préfète.
Christiane Barret, préfète des Deux-Sèvres et Laurent Simplicien, directeur de cabinet de la préfète.
© D. P.

Concernant la gestion de l’eau, l’année 2011 n’a pas été un long fleuve tranquille mais plutôt bercé par  des remous. « Le bilan est contrasté avec un printemps difficile et des mesures de restrictions prises très tôt puis un été pluvieux offrant aux agriculteurs un certain répit », a rappelé Christiane Barret, préfète des Deux-Sèvres, jeudi 26 janvier lors de sa traditionnelle conférence de presse de début d’année. Et Jean-Claude Pétureau, directeur de la direction départementale des territoires (DDT) d’ajouter : « La situation s’est tout de même améliorée en fin d’année. S’agissant de l’eau potable, les barrages ont retrouvé des niveaux normaux. » Cependant le niveau des nappes phréatiques n’a pas remonté. Et les services de l’Etat travaillent, pour la prochaine campagne, à l’élaboration des arrêtés qui réguleront les usages de l’eau en période critique. « Il s’agit d’un véritable travail de coordination entre les quatre départements afin que l’arrêté-cadre soit le plus harmonieux possible sur le plan régional », a souligné Jean-Claude Pétureau. S’agissant des irrigants, les prélèvements pour remplir les réserves de substitution se font – « aujourd’hui, car c’est une situation qui évolue au jour le jour », a  tenu à préciser le directeur de la DDT - en eaux superficielles ou nappes d’accompagnement. Quant à la définition des volumes prélevables par bassin, les difficultés perdurent pour arrêter des chiffres. Lesquelles difficultés se rencontrent « au niveau national pour tous les départements déficitaires en eau », a ajouté le directeur de la DDT. Enfin, la création de l’organisme unique est de nouveau reportée. Il ne devrait voir le jour qu’au 1er janvier 2013 (à lire la semaine prochaine dans Agri79 un dossier irrigation).

Lire la suite en page 4 d'Agri79

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

Les recrutements concernent notamment des opérateurs de collecte, de juin à fin juillet.
Le recrutement des saisonniers est lancé

Terrena, Océalia et Cérience ont lancé il y a déjà quelques jours leurs opérations recrutement à travers les premières…

Tom et Didi Hawkins ont repris la supérette de Bouresse, ouverte tous les jours, sauf le mardi de 8 h à 13 h et de 15 h 30 à 19 h 30. Le dimanche de 8 h à 12 h.
Ouverture de commerces à Bouresse et Leigné-les-Bois

Lors des vœux des maires de début d'année, leur arrivée était signalée comme des "bonnes nouvelles". Les supérettes de…

Béatrice Guyonnet est responsable de service Patrimoine Culture à la Communauté de communes Vienne et Gartempe. Ici, sur le site Gallo-romain de Mazamas à Saint-Léomer.
Mazamas pour ouvrir la saison des p'tites balades

Dans le cadre de la convention Villes et pays d'art et d'histoire, la Communauté de communes Vienne et Gartempe propose une…

Julien Dupuis, de l'Earl la Mardière, aux côtés de sa génisse Parthenaise ayant remporté le prix de championnat du concours. Elle a été achetée pour la boucherie du Leclerc d'Azay-le-Brûlé.
Concours de boucherie de Saint-Maixent : les ventes en petite forme

Les ventes atones lors de la foire de Saint-Maixent-l'École, le 11 avril, ont confirmé la tendance observée lors des derniers…

Alexis Fromondeau coordonne cette action au sein de Vienne et Gartempe.
30 000 € dépensés en produits locaux
Depuis la mise en œuvre d' "Une alimentation pour tous" dans le territoire de Vienne et Gartempe, près de 30 000 euros de…
Le camion Christelle Berthonneau s'appelle Sereine. Elle va à la porte de ses clientes ou s'arrête sur la place des villages.
Ces services qui viennent à notre porte
Certains commerçants ont décidé d'arpenter les routes de nos campagnes pour amener certains services à la porte de leurs clients.
Publicité