Diversification
Ils croient en l’avenir du poulet français
Malgré la hausse des charges et les épisodes d’influenza à répétition, les acteurs de la filière volaille veulent redynamiser l’élevage local pour répondre à la forte demande. Bellavol (79) travaille avec les coops de St-Agnant, Tonnay-Boutonne et Beurlay pour développer chez leurs adhérents des unités de production.
Malgré la hausse des charges et les épisodes d’influenza à répétition, les acteurs de la filière volaille veulent redynamiser l’élevage local pour répondre à la forte demande. Bellavol (79) travaille avec les coops de St-Agnant, Tonnay-Boutonne et Beurlay pour développer chez leurs adhérents des unités de production.
Le poulet français a la cote ! La consommation des volailles de chair (dont plus des trois quarts sont des poulets) a progressé en France depuis 2014, et les acheteurs hexagonaux sont en quête de productions plus locales. C’est vrai pour les consommateurs particuliers, mais la restauration hors domicile s’y convertit peu à peu également : des chaînes de restauration rapide, comme KFC, Mac Donald’s et Burger King communiquent beaucoup dessus. Le groupe LDC, leader du secteur (marques Le Gaulois, Les Fermiers de Loué, Maître Coq ou encore Marie) anticipe des besoins supplémentaires importantes pour ses abattoirs pour répondre aux besoins du marché.