Assurance incendie
Investir un peu d’argent pour sécuriser ses bâtiments
Ce n’est pas obligatoire aux yeux de la loi, mais il est trop risqué de ne pas s’assurer contre l’incendie. Le contrat s’adapte à tous les profils et les conditions de prise en charge varient selon les mesures de sécurité mises en place dans les fermes.
Ce n’est pas obligatoire aux yeux de la loi, mais il est trop risqué de ne pas s’assurer contre l’incendie. Le contrat s’adapte à tous les profils et les conditions de prise en charge varient selon les mesures de sécurité mises en place dans les fermes.
«On connaît tous quelqu’un à qui c’est arrivé. L’incendie d’une exploitation, cela marque les esprits », indique en préambule Aurélien Simon, responsable d’équipes agricoles à Groupama Centre-Atlantique, avant de préciser que les chefs d’exploitation ont le réflexe de s’assurer contre ce risque :
Ce sont des dommages qu’il n’est pas possible de surmonter avec sa seule trésorerie, à la différence d’une réparation de tracteur par exemple ».
Écarts de tarifs
Pour Aurélien Simon et son équipe, pas de contrat sans une visite systématique de l’exploitation à assurer. « Le coût varie selon la taille des bâtiments, ce qu’il y a dessous mais aussi dessus. Les panneaux photovoltaïques par exemple augmentent les capitaux à assurer mais aussi le risque d’incendie.
En somme, la cotisation est fixée selon la nature du risque et le niveau de protection présent sur l’exploitation ».