Irrigants de la Vienne: de nombreux dossiers à défendre
L’assemblée générale des irrigants de la Vienne (Adiv), a permis dans le contexte international tendu que l’on connaît, de revenir sur des sujets d’actualité comme le protocole d’accord des réserves de substitution sur le bassin du Clain, le coût de l’énergie, et la réorganisation interne de l’association pour gagner en efficacité.
L’assemblée générale des irrigants de la Vienne (Adiv), a permis dans le contexte international tendu que l’on connaît, de revenir sur des sujets d’actualité comme le protocole d’accord des réserves de substitution sur le bassin du Clain, le coût de l’énergie, et la réorganisation interne de l’association pour gagner en efficacité.
L’Adiv n’a pas chaumé en 2021, concentrée sur des dossiers tels que la sécurisation de l’accès à l’eau, sa gestion collective à long terme et le développement de la ressource en eau, à travers le stockage. « L’année dernière a été marquée par la concertation liée au protocole d’accord des réserves de substitution du Clain », rappelle Hervé Jacquelin, le président de l’Adiv, qui a salué la collaboration des services de l’Etat dans cette réflexion. « La concertation a réuni une soixantaine de structures pour aborder les enjeux de la qualité et de la quantité de la ressource en eau. Le défi est de construire les règles d’un projet qui répondra aux principales attentes de chaque partie prenante. Evidemment un consensus laisse toujours un petit goût d’amertume. Nous savions qu’en acceptant cette mission nous serions sous le feu des critiques. L’art de construire est difficile.