Grandes cultures
La conversion à l’agriculture bio, possible mais pas forcément simple
Installé en Charente-Maritime, Ludovic Etourneau raconte la conversion à l’agriculture biologique de son exploitation grandes cultures.
Installé en Charente-Maritime, Ludovic Etourneau raconte la conversion à l’agriculture biologique de son exploitation grandes cultures.
Peu d’agriculteurs en grandes cultures ont, pour l’heure, fait le choix de la conversion bio. Parmi eux, il y a Ludovic Etourneau (Earl Montrichard et 100 Chênes), installé depuis 2003 à Landes (17). Animé par « une envie de renouveau, de challenge », mais aussi parce que « la pression sociétale existe quand même », il a envisagé à partir de 2016 une évolution de son exploitation dans cette direction. « Ce qui me freinait, c’était la surface (il exploite 225 ha), et le fait qu’il y avait peu d’appui technique », explique-t-il. Entamée en 2017, la conversion a abouti en 2019.