Le Campus agricole de la Charente est né
L’EPLEFPA de la Charente change de nom et de logo. Il s’appellera désormais Campus agricole de la Charente - Oisellerie Barbezieux. Pour cette rentrée, Brigitte Biasotto remplace Philippe Fourest au poste de proviseure adjointe. Les effectifs restent stables.
La rentrée arrive à grand pas pour les établissements agricoles de l’Oisellerie et de Barbezieux avec des nouveautés que les responsables étaient avides de faire connaître mardi 29 août à l’issue de leur première réunion interne de rentrée sur le site de Salles-de-Barbezieux.
Le premier changement, et pas des moindres, est une nouvelle appellation : Campus agricole de la Charente - Oisellerie Barbezieux. « Dans le cadre de notre projet d’établissement 2016-2020, nous voulions travailler sur la communication et améliorer notre image en changeant de visuel et de nom pour être plus moderne et plus représentatif de notre diversité », a expliqué Philippe Taillecours, le directeur.
En 2017, un groupe de travail a planché sur cette évolution avec l’aide de l’agence de communication d’Angoulême, Coco Wave. Il en ressort un nouveau logo où l’ancienne feuille laisse la place à des cubes enchevêtrés de différentes couleurs en guise de symbole de la diversité des activités de l’établissement.
Quant à l’énigmatique et difficilement prononçable EPLEFPA de la Charente, il est relégué aux fonctions administratives et remplacé par le Campus agricole de la Charente - Oisellerie Barbezieux, avec en phrase d’appoint : « l’enseignement au service des territoires ».
Si le terme campus est plus valorisant en termes d’image, cette nouvelle dénomination a aussi pour but de développer des synergies à l’intérieur même des établissements répartis sur deux sites.
Proviseure adjointe
Autre nouveauté pour cette rentrée 2017-2018, Philippe Fourest laisse sa place de proviseur adjoint à Brigitte Biasotto, qui occupait la même fonction au lycée agricole de Périgueux. Originaire du Gers, cette dernière ne sera pas trop dépaysée puisqu’elle a...
...Lire notre article dans La Vie Charentaise du 31 août, page 4.