Céréales en montaison
Le déficit hydrique impose un ajustement de la conduite culturale
Malgré les épisodes pluvieux de cette semaine, le déficit hydrique est préoccupant. Cet effet du stress peut être amplifié si les apports d’engrais de début montaison n’ont pas été valorisés.
Malgré les épisodes pluvieux de cette semaine, le déficit hydrique est préoccupant. Cet effet du stress peut être amplifié si les apports d’engrais de début montaison n’ont pas été valorisés.
Dans les situations hydriques les plus défavorables, comme les groies superficielles non irriguées sur les zones les moins arrosées (moins de 30 mm depuis le 1er mars), le cumul de déficit hydrique de montaison atteint aujourd’hui 80 à 100 mm. À ces niveaux de déficit, l’impact devient très fort et se traduit par une perte de biomasse à floraison.