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Le fourrage, chemin le plus court vers l’autonomie alimentaire

En troupeau allaitant, l’autonomie alimentaire contribue très souvent à l’amélioration du revenu, quel que soit le système d’élevage.

Si le renforcement de l’autonomie énergétique est un atout économique certain, l’autonomie protéique est d’un intérêt variable selon les fluctuations des cours des matières premières.
Si le renforcement de l’autonomie énergétique est un atout économique certain, l’autonomie protéique est d’un intérêt variable selon les fluctuations des cours des matières premières.
© N.C.

L’autonomie alimentaire est une composante de la maîtrise des coûts de production. Pour baisser le recours aux concentrés il faut limiter les animaux improductifs, équilibrer les rations pour ajuster performance et coût et stocker des fourrages de qualité en adéquation avec les besoins des animaux. Si la valorisation des céréales produites sur l’exploitation par les animaux est indispensable, l’autonomie en matière azotée (herbe, luzerne, protéagineux) présente un intérêt variable. Souvent abordé par les éleveurs comme un levier de maîtrise des coûts, le premier enjeu de l’autonomie est bien évidemment de limiter les animaux improductifs.

Il faut notamment repérer les vaches vides pour les mettre en finition rapidement, abaisser au maximum l’âge au premier vêlage, viser des IVV proches de 365 jours et optimiser la durée de la finition.
Le second enjeu concerne l’ajustement du rationnement. Les rations de finition des mâles et des femelles ont parfois des rapports PDI/UF supérieurs à 90-100, bien au-dessus des recommandations établies dans les tables INRA. Elles entraînent très souvent une valorisation non optimale du concentré qui dégrade ainsi le coût de production.

Plus d'infos dans le journal Agri 79 du 30 septembre 2016

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