Le manga roi d’un 50e Festival de la bande dessinée réussi
Des rues noires de monde, des espaces bondés et la fine fleur de la bande dessinée française et internationale : le FIBD n’a pas manqué son cinquantième anniversaire.
Des rues noires de monde, des espaces bondés et la fine fleur de la bande dessinée française et internationale : le FIBD n’a pas manqué son cinquantième anniversaire.
La bande dessinée sous toutes ses formes a envahi Angoulême durant 4 jours. Une 50e édition marquée par le renforcement du lien avec l’Asie avec la présence des mangakas Hajime Isayama, Junji Ito et Ryoichi Ikegami qui ont été récompensés par des Fauves spéciaux. Le Festival reste également un lieu où tous les acteurs de la bande dessinée peuvent se retrouver et échanger autour de leurs métiers.
Une édition marquée aussi par la consécration de Riad Sattouf qui a reçu le Grand Prix du festival. L’auteur de L'Arabe du futur a acquis une stature internationale avec sa série traduite en 23 langues, et une longue histoire avec le festival qui l’avait déjà récompensé en 2010 pour le troisième tome des aventures de Pascal Brutal, et en 2015 pour le premier tome de L'Arabe du futur.