Parthenaises
Le Sana, un outil de développement
Le Salon agricole de Nouvelle-Aquitaine (Sana), qui se déroulait à Bordeaux la semaine dernière, garde un pouvoir d’attractivité pour les races. En pleine dynamique, la race Parthenaise s’en sert de tremplin pour son développement.
Le Salon agricole de Nouvelle-Aquitaine (Sana), qui se déroulait à Bordeaux la semaine dernière, garde un pouvoir d’attractivité pour les races. En pleine dynamique, la race Parthenaise s’en sert de tremplin pour son développement.
«Ne pas rester chez nous, s’ouvrir, poursuivre notre développement sur tous les territoires, aller à la rencontre des organisations professionnelles et des élevages, voilà ce que l’on recherche à Aquitanima ». Greg Penière, directeur de France Parthenaise, plante le décor. Pour la race, à l’histoire longue et mouvementée, l’heure est à la relance.
Quelle est l’histoire de la race Parthenaise ?
Greg Penière : En 1880, la Parthenaise était la troisième race de France avec 1,2 million de vaches. C’était une vache reconnue, qui avait reçu en 1903 le premier prix des vaches laitières.