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Les robots débarquent dans les champs et les vergers

Malgré la complexité que cela représente, la robotisation entre peu à peu dans les champs et les vergers. Au Sival, vitrine de l'innovation dans les productions végétales spécialisées, un focus était fait sur les nouvelles technologies embarquées.

La 31e édition du Sival a accueilli 23 000 visiteurs. Un showroom extérieur destiné au machinisme était proposé pour la première fois.
La 31e édition du Sival a accueilli 23 000 visiteurs. Un showroom extérieur destiné au machinisme était proposé pour la première fois.
© N.C.

La 31e édition du Salon international des techniques de productions végétales, qui s'est tenu à Angers du 17 au 19 janvier, a accueilli 23 000 visiteurs, soit 4 % de plus qu'en 2016. Un focus était fait sur la robotique et le machinisme connecté. Outre la présence de plusieurs robots et de nombreux objets connectés, un symposium était organisé par Végépolys sur la place de la robotique dans les productions végétales. En maraîchage et en arboriculture, la main-d'œuvre représente 25 à 40 % du coût de production, avec des tâches physiques pour lesquelles il est de plus en plus difficile de trouver du personnel. S'y ajoutent la réduction des solutions phytosanitaires et l'intérêt de réduire le tassement des sols lié au passage de gros engins. Déjà courante en station, pour la palettisation, la manipulation des pallox ou encore le conditionnement, la robotique arrive aujourd'hui dans les champs et les vergers. « L'agriculture est toutefois le secteur le plus complexe à robotiser, souligne Avital Bechar, du Volocani Center, en Israël. Les robots doivent pouvoir avancer et se guider dans un espace ouvert non structuré, sur un sol irrégulier et sans risque pour l'homme. Les objets eux-mêmes manquent de structure, avec des produits de forme, taille, poids, couleurs très variables. »

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