« L’international est un enjeu majeur pour le numérique »
Aurélie Colin-Thévenet a été élue à la vice-présidence du Syndicat des Professionnels du Numérique. Cofondatrice de Lux Lingua à Saint-Michel, elle accompagne les entreprises charentaises au sein du réseau des professionnels du numérique.
Quel a été votre parcours avant de devenir la vice-présidente du syndicat des Professionnels du Numérique ?
Aurélie Colin-Thévenet : J’ai fait des études de langues et de communication.J’ai travaillé dans le journalisme de la mode et du luxe à des postes de rédactrice en chef. J’ai fini par me lancer en freelance pendant deux ans à Londres. Un contrat m’a demandé de revenir en France et ça a été la même chose pour Grégory Thévenet. Nous avons fondé Lux Lingua en Charente notamment pour continuer de nous occuper de nos anciens clients.
Comment avez-vous rejoint le SPN ?
Lux Lingua a adhéré au SPN en 2017. Nous cherchions à rejoindre des réseaux professionnels. Jusqu’à présent, nous travaillions beaucoup en autarcie, avec une clientèle essentiellement à l’étranger. Nous avions la volonté de travailler avec d’autres chefs d’entreprise du secteur. Nous avons tout de suite adhéré à l’état d’esprit du SPN. Quand on a une idée, ils écoutent vite, et le SPN permet d’organiser des groupes de travail facilement.
Retrouvez l'interview complète dans la Vie Charentaise du jeudi 9 août 2018.