Nathalie Chevalerias : « Le machinisme agricole fait face à la crise sanitaire »
Le machinisme agricole a bien résisté à une année 2020 compliquée en raison de la crise sanitaire et surtout du premier confinement de mars à mai. Pour les espaces verts, c’est plus difficile, selon le Syndicat national des entreprises de service et de distribution du machinisme agricole, d’espaces verts et des métiers spécialisés (SEDIMA).
Quel bilan tirez-vous de l’année écoulée sur le marché du machinisme agricole régional ?
Nathalie Chevalerias : Globalement, le machinisme agricole s’en sort plutôt bien. Contrairement à d’autres activités, il n’a pas été mis en péril. Nous avons pu continuer à travailler, notre secteur étant considéré comme nécessaire à la production alimentaire.
L’organisation ne s’est pas faite sans mal, avec les risques sanitaires. Il a fallu rester vigilant sur la santé physique et mentale des équipes et veiller également à la santé économique de nos entreprises.
Le premier confinement a été compliqué. Nous avons pu maintenir nos actifs opérationnels sur le terrain.
Les commerciaux ont pu bénéficier du télétravail, mais c’est difficile d’être efficace à distance, quand les essais de matériels ne sont pas possibles.
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