Œufs: les éleveurs de la CFA appliquent leur menace de «name and shame»
Estimant qu'une revalorisation du prix des œufs est «indispensable pour la survie des producteurs», la CFA (aviculteurs, FNSEA) a mis à exécution, le 20 janvier, sa menace de «name and shame»: «C’est avec Auchan, Carrefour, Casino et Aldi que cette situation inquiétante pour les éleveurs est la plus difficile», pointe l'association spécialisée dans un communiqué.
En pleines négociations annuelles, les producteurs affirment qu'une hausse de 2 ct d'€ par œuf (4 ct d'€ en bio) est «nécessaire pour prendre en charge [la] hausse des coûts de production».