Labour
Pourquoi il ne faut pas mettre la charrue au rebut
Souvent pointée du doigt pour ses effets perturbateurs sur le sol, la charrue se montre indispensable pour encore beaucoup d’agriculteurs. Des charrues
déchaumeuses font leur apparition en Cuma, dans l’optique d’un labour agronomique.
Souvent pointée du doigt pour ses effets perturbateurs sur le sol, la charrue se montre indispensable pour encore beaucoup d’agriculteurs. Des charrues
déchaumeuses font leur apparition en Cuma, dans l’optique d’un labour agronomique.
La maîtrise du salissement est la raison principale pour laquelle les agriculteurs ne se passent pas de leur charrue, quitte à la sortir une fois tous les trois ans. Frédéric David, animateur à la Fédération des Cuma mais aussi agriculteur à Vasles, alterne le labour et le TCS sur ses 73 ha de SAU.
« La charrue me permet d’éviter l’explosion des adventices. Elle revient tous les deux, voire trois ans, avant l’implantation du colza et du tournesol. Elle permet de faire table rase ».