Quel impact du gel pour les céréales dans la région ?
Pour les parcelles au stade 2 nœuds, l’impact des gelées devrait être relativement limité, compte tenu du stade et de l’intensité des gelées. Toutefois, pour les quelques parcelles les plus précoces, des observations doivent être ciblées et des dégâts seront peut-être à déplorer.
Pour les parcelles au stade 2 nœuds, l’impact des gelées devrait être relativement limité, compte tenu du stade et de l’intensité des gelées. Toutefois, pour les quelques parcelles les plus précoces, des observations doivent être ciblées et des dégâts seront peut-être à déplorer.
Les gelées des deux dernières semaines sont survenues sur des céréales à paille en tout début de montaison et des maïs très peu avancés. Les températures sous abri les plus basses enregistrées n’ont pas dépassé les -5 °C et sur une part importante du territoire, elles ont avoisiné les -2 °C. D’autre part, cet épisode de froid est intervenu sur une végétation sèche, avec de bons rayonnements pour la saison.
Il est donc possible que certaines situations culturales modulent l’impact du gel. Le stress hydrique rend les plantes moins rapidement gélives. En revanche, l’irrigation peut s’accompagner d’une fragilisation de la plante sur ce critère d’autant plus marqué sur des stades avancés (à DFE/gonflement).