FNB
Un congrès marqué par la contractualisation
L’application de la loi Besson-Moreau (Égalim 2) était l’un des sujets forts du congrès de la FNB, les 2 et 3 février à Aurillac. Le ministre de l’Agriculture a défendu la réforme devant les éleveurs.
L’application de la loi Besson-Moreau (Égalim 2) était l’un des sujets forts du congrès de la FNB, les 2 et 3 février à Aurillac. Le ministre de l’Agriculture a défendu la réforme devant les éleveurs.
Le congrès de la FNB (Fédération nationale bovine) se déroulait les 2 et 3 février dernier à Aurillac (Cantal). La Charente-Maritime y avait six représentants : quatre éleveurs (Jean-Noël Gémon, Bernard Dubois, Éric Berbudeau et Rudy Boisson) et deux encadrants de la FNSEA 17, le directeur Pascal Berteau et l’animateur Yves Lemarinier.
L’assemblée générale, le 2 décembre au matin, a permis à la FNB de présenter ses comptes mais aussi ses perspectives pour l’année à venir. L’après-midi, trois groupes de travail étaient organisés : l’un sur la Pac 2023, un deuxième sur la cohérence des politiques européennes, et le dernier sur le thème des veaux de boucherie.