Caprin : gène de résistance au Caev recherché
Si Capgènes enregistre un léger retrait du nombre de doses d'IA commercialisées en 2024 et un marché export terni par un contexte sanitaire français difficile, l'organisme de sélection poursuit ses programmes de recherche pour améliorer la génétique caprine au service des éleveurs.
Si Capgènes enregistre un léger retrait du nombre de doses d'IA commercialisées en 2024 et un marché export terni par un contexte sanitaire français difficile, l'organisme de sélection poursuit ses programmes de recherche pour améliorer la génétique caprine au service des éleveurs.

Avec une campagne marquée par une pluviométrie abondante, venant pénaliser les volumes et la qualité des fourrages récoltés, et donc aussi la production laitière, les éleveurs caprins ont regardé de près leurs capacités de financement et ont diminué le budget qu'ils comptaient réserver à l'achat de dose d'IA, note Frédéric Baudy, président de Capgènes, en assemblée générale en milieu de semaine dernière au siège de Mignaloux-Beauvoir.
Ajouter à cela, la baisse du taux de renouvellement dans les élevages, et celle du nombre des installations. Et on obtient finalement un léger recul du nombre de doses d'IA commercialisées par Capgènes (65 845 inséminations, en baisse de presque 2 % par rapport à 2023).