Dans les Cuma, l'avenir de la machine passera par l'humain
Face à la baisse du nombre d'actifs et à la concurrence des ETA, les Cuma doivent innover pour séduire les nouveaux installés. Mise en réseau, prestation complète, trois structures départementales sont venus expliquer les leviers qu'elles ont mis en place.
Face à la baisse du nombre d'actifs et à la concurrence des ETA, les Cuma doivent innover pour séduire les nouveaux installés. Mise en réseau, prestation complète, trois structures départementales sont venus expliquer les leviers qu'elles ont mis en place.
Lorsque les matériels sont de sortie, on aperçoit de plus en plus de tracteurs connectés, de bineuses et autres herses étrilles pour le travail du sol, le tout répondant aux adaptations des pratiques culturales. Le parc matériel évolue constamment, et les Cuma des Deux-Sèvres n'ont jamais autant investi en 2022 depuis neuf ans, avec 12,73 millions d'euros (sur les 30 millions à l'échelle du Poitou-Charentes).
Même si les critères restrictifs dans l'attribution PCAE cette année ont limité les dossiers (huit pour un montant de 990 000 €, soit un montant d'aides de 230 000 €, contre 25 dossiers en 2022 et 31 en 2021), cela n'empêche pas les 171 structures départementales de regarder vers l'avenir.