De la diversité des porte-greffes
La journée technique du 7 décembre à l’institut de formation de Richemont a porté sur les portes-greffes.Un travail a été réalisé sur le site de Saint-Trojan à l’Île-d’Oleron.
La 10e journée technique du Conservatoire du vignoble charentais a traité du thème des porte-greffes et de leur diversité à explorer. Pourquoi développer ce sujet ?
Sébastien Julliard : C’est un thème que l’on travaille au conservatoire, pas spécialement sur de l’expérimentation mais sur de la conservation et de la sauvegarde d’accessions. On a déjà en collection 32 porte-greffes différents. Il y a ceux de Jean-Louis Vidal qu’on a gardé en serre et d’autres. On intensifie cet aspect sauvegarde. Par ailleurs, c’est un sujet qui nous semble pas suffisamment traité. C’est important, notamment dans le cadre du changement climatique où les problèmes d’alimentation hydrique sont importants comme on a pu le voir cette année. D’autre part, chez nous, nous sommes sur une exigence de porte-greffes résistants au calcaire et vigoureux. L’offre n’est pas énorme en termes de variétés. On en a 4 ou 5 qui peuvent correspondre.
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