Des protéines pour les chèvres
Les fourrages permettent d’apporter des protéines dans la ration par le biais de cultures à vocation protéique telles que les légumineuses, quelques graminées (dactyle, RG Italie…) et crucifères (choux, colza…) et des modes de récoltes plus précoces (affouragement, enrubannage). Les protéagineux comme la fèverole et le pois, qui sont par ailleurs riches en amidon et nécessitent une attention particulière quant à la quantité à apporter dans la ration, peuvent être distribués en graines entières. Ils sont l’équivalent d’un aliment à 17-18 % de MAT. Le lupin est encore un meilleur complément car il n’a pas d’amidon, et donc pas de limite de distribution. Il équivaut à un aliment de 22-24 % de MAT.