Investir pour améliorer performances, bien-être humain et animal
Serge et Jean-François Moreau, du Gaec Les prairies de l’Ajonc, devaient accueillir du public dans le cadre de Capr’Inov. La gestion technico-économique du Gaec, qui investit massivement pour améliorer ses conditions de travail, devait y être mise en avant.
Serge et Jean-François Moreau, du Gaec Les prairies de l’Ajonc, devaient accueillir du public dans le cadre de Capr’Inov. La gestion technico-économique du Gaec, qui investit massivement pour améliorer ses conditions de travail, devait y être mise en avant.
Quand ils ne sont pas en chantier, les frères Moreau doivent être un peu désorientés. Il faut dire que depuis 2013, de nombreuses installations ont vu le jour au Gaec Les prairies de l’Ajonc, à Noirterre. Tout a été pensé pour améliorer les conditions de travail (confort, économie de temps) comme les performances technico-économiques mais aussi accompagner leur transition bio, qui sera effective en janvier prochain. Ainsi, le cheptel va passer de 400 chèvres et 700 brebis à 550 chèvres de race alpine (et 200 chevrettes) pour seulement 150 brebis mouton vendéen (et 40 agnelles). « Un choix dicté en partie par les débouchés proposés », explique Jean-François. Le marché porteur du lait de chèvre bio doit continuer à soutenir les investissements du Gaec.