La Compagnie Coloniale perpétue le thé d’antan... mais modernisé
La pharmacie, ce n’était plus sa tasse de thé. Il y a six ans, cet ancien cadre de 40 ans a décidé de prendre un virage professionnel catégorique. Et c’est à Dissay que Vincent Balay s’est installé en reprenant la Compagnie Coloniale.
Certes, la matière première n’est pas vraiment locale. Mais pour tout ce qui permet d’aromatiser ou d’emballer son thé, Vincent Balay mise sur le local. « Nos boîtes en fer étaient fabriquées en Chine. Avec tous les soucis de qualité, et de délai d’approvisionnement. Depuis 2010, les coûts de fabrication ont de plus progressé de 25 %» explique le directeur de la Compagnie Coloniale. Pour son entreprise basée à Dissay, et qui produit une centaine de tonnes de thé par an, Vincent Balay vient donc de faire le choix de boîtes fabriquées en France, à proximité d’Orléans...
Lire la suite de l'article en page 7 de la Vienne Rurale du 27 mai