Cheval
La Filière équidés met tous ses chevaux dans le même moteur
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Filière équidés Deux-Sèvres, réuni en assemblée générale le 23 novembre, a présenté ses activités et les efforts qu'elle fait pour réunir toutes les ramafications de la filière sous une même bannière.
Vendredi 23 novembre, Robert Girault a été reconduit dans ses fonctions de président de la Filière équidés Deux-Sèvres. En avril dernier, il était désigné par ses pairs pour succéder à Jacques Robin. Son action s’inscrira dans la dynamique impulsée par son prédécesseur. Depuis 1999, rassembler est une priorité dans cette famille aux nombreuses ramifications. Uni, le monde du cheval gagne en crédibilité. Toute en préservant sa singularité, chaque branche en reconnaissant sa filiation aide la filière équine à se faire un nom. Depuis trois ans, celui-ci est porté haut et fort le temps des Galopades, aussi baptisées la semaine du cheval.
Un exemple
Précurseurs dans leur idée de rassembler, les acteurs deux-sèvriens ont été copiés. Le département de la Lozère s’est engagé sur la même voie. Comme ici, centres équestres, prestataires de services en tourisme équestre, éleveurs de chevaux de sport, entraîneurs de chevaux de courses, utilisateurs de chevaux de traits, maréchaux-ferrants, selliers ou encore centres d’insémination se présentent sous la même identité. Ainsi, lorsqu’elle s’adresse aux pouvoirs publics, Filière équidés Deux-Sèvres pour se faire entendre peut argumenter, chiffres à l’appui. « Nous exploitons aujourd’hui 21 % de la surface toujours en herbe du département. La filière représente 550 emplois soit 370 équivalents temps plein, 17,66 millions d’euros de chiffre d’affaires cumulé dont 14 millions générés directement par la filière (estimation 2004) ».
Un exemple
Précurseurs dans leur idée de rassembler, les acteurs deux-sèvriens ont été copiés. Le département de la Lozère s’est engagé sur la même voie. Comme ici, centres équestres, prestataires de services en tourisme équestre, éleveurs de chevaux de sport, entraîneurs de chevaux de courses, utilisateurs de chevaux de traits, maréchaux-ferrants, selliers ou encore centres d’insémination se présentent sous la même identité. Ainsi, lorsqu’elle s’adresse aux pouvoirs publics, Filière équidés Deux-Sèvres pour se faire entendre peut argumenter, chiffres à l’appui. « Nous exploitons aujourd’hui 21 % de la surface toujours en herbe du département. La filière représente 550 emplois soit 370 équivalents temps plein, 17,66 millions d’euros de chiffre d’affaires cumulé dont 14 millions générés directement par la filière (estimation 2004) ».