Concours
La normande, en concours le 10 août à la fête de la terre
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La race normande présente à la fête de la terre le 10 août à Échiré.
La normande a des atouts qu’elle s’évertue à défendre.
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La race normande a du mal à maintenir ses effectifs en Deux-Sèvres.L’assemblée générale a été l’occasion d’en discuter. « Vraisemblablement, nous organiserons un concours départemental le 10 août ». Jacques Breillat, le président du syndicat des éleveurs de la race bovine normande présente le rendez-vous comme un événement. La dernière édition ayant eu lieu en 2006, cette rencontre à Echiré sera l’occasion pour les éleveurs de se confronter aux autres et pour la race de se montrer. En organisant ce concours dans le cadre de la fête de la terre chaque année portée par les jeunes agriculteurs, le syndicat se donne les moyens de toucher un maximum de personnes.
Jeunes éleveurs
En combat permanent pour le maintien de ses effectifs, le syndicat départemental « encourage les sorties. Nous devons nous montrer », appelle Jacques Breillat. La normande a des atouts qu’elle s’évertue à défendre. Le taux de matière protéique, « même s’il est aujourd’hui insuffisamment revalorisé, est selon le président une chance. Ce n’est pas l’eau du lait qui fait les produits laitiers », martèle-t-il dans l’espoir de voir prochainement la grille de prix du lait plus favorable aux qualités naturelles de la race normande.
En organisant leur concours départemental dans le cadre de la fête de la terre, c’est un message aux jeunes que le syndicat veut adresser. « Ces dernières années, les rangs des éleveurs de vaches normandes se sont rajeunis », constate le président espérant voir cette tendance se confirmer.
C.P.
Jeunes éleveurs
En combat permanent pour le maintien de ses effectifs, le syndicat départemental « encourage les sorties. Nous devons nous montrer », appelle Jacques Breillat. La normande a des atouts qu’elle s’évertue à défendre. Le taux de matière protéique, « même s’il est aujourd’hui insuffisamment revalorisé, est selon le président une chance. Ce n’est pas l’eau du lait qui fait les produits laitiers », martèle-t-il dans l’espoir de voir prochainement la grille de prix du lait plus favorable aux qualités naturelles de la race normande.
En organisant leur concours départemental dans le cadre de la fête de la terre, c’est un message aux jeunes que le syndicat veut adresser. « Ces dernières années, les rangs des éleveurs de vaches normandes se sont rajeunis », constate le président espérant voir cette tendance se confirmer.
C.P.