La vaccination FCO, véritable atout commercial
Alors que la pression sanitaire est moindre ces dernières années, la vaccination contre la fièvre catarrhale ovine (FCO) permet d’écouler ses animaux sur les marchés étrangers. Et en femelle, la valorisation économique peut être importante.
Alors que la pression sanitaire est moindre ces dernières années, la vaccination contre la fièvre catarrhale ovine (FCO) permet d’écouler ses animaux sur les marchés étrangers. Et en femelle, la valorisation économique peut être importante.
Sur les marchés étrangers, la vaccination FCO agit comme un passeport. « Avec un marché de l’engraissement qui diminue dans notre région et un envoi de plus en plus de maigres (laitonnes et broutards) à l’export, la vaccination prend toute son importance car elle est obligatoire pour de nombreux pays », analyse Laurent Baribault, le responsable marché de la Caveb.
Mais décider de vacciner, cela s’anticipe dès les premiers mois de l’animal. Dans la majorité des pays, les autorités sanitaires exigent 60 jours après la deuxième injection, qui a eu lieu au moins trois semaines après la première.