Maraîchage
L'Acpel veut adapter les variétés aux aléas climatiques
L’organisme d’expérimentation en maraîchage travaille sur l’adaptation des melons et pommes de terre au manque d’eau, mais aussi à d’autres phénomènes climatiques.
L’organisme d’expérimentation en maraîchage travaille sur l’adaptation des melons et pommes de terre au manque d’eau, mais aussi à d’autres phénomènes climatiques.
Comment cultiver des fruits et légumes dans un contexte où l’accès à l’eau en période estivale devient de plus en plus difficile ? Cette question, l’Acpel (association de recherche et d’innovation légumière en Nouvelle-Aquitaine, installée à Saintes) se la pose et travaille pour y répondre, notamment en melon. « C’est un facteur de plus en plus important pour les producteurs », confie le responsable technique de l’organisme, David Bouvard. « Sur le secteur de Saintes, il est tombé environ 600 mm d’eau entre septembre et fin février… Mais au nord de Mirebeau, on était à seulement 350 mm, et le secteur de Loudun est apparemment encore plus touché. »