Le BNIC en mode résilience
Taxes chinoises, budget resserré, grand projet avorté, menaces Trump, Rendement Cognac sans doute en berne... la vie du nouveau président du BNIC est loin d'être comme un fleuve tranquille. Bilan après une année de tous les dangers.
(© Wilmotte & Associés Architectes/Redman)
Lors d'une conférence de presse organisée mardi matin qui coïncide avec la fin de la première année de son mandat à la tête de l'Interprofession du cognac, le président Florent Morillon s'est d'abord félicité de la décision prise (la veille) par la maison Hennessy de renoncer à tester des expéditions du cognac en vrac sur le marché chinois (lire par ailleurs). " Je suis ravi de cette décision qui va contribuer à apaiser les esprits. Nous avons pour principe de ne pas commenter les décisions prises par les maisons de cognac, sauf si elles sortent du cahier des charges de l'appellation, ce qui n'est pas le cas en la matière. Ceci dit, c'est bien normal qu'une grande maison de cognac réfléchisse à un plan B ou C car le risque est bel et bien de ne plus vendre du tout de cognac en Chine si la surtaxation se confirmait ".