« Le Graal serait d’identifier le gène du stress hydrique »
Jeudi 14 septembre, rendez-vous est donné à Echiré sur une parcelle du Gaec du Gué. La plateforme d’irrigation d’Aquanide a pour vocation de mobiliser autour de l’exigeante priorité qu’est celle d’innover pour nourrir les plantes qui nourriront les hommes.
La limitation des volumes est une contrainte à laquelle les exploitants ne peuvent échapper aujourd’hui. Néanmoins, les résultats de la plateforme réalisée à Echiré, au Gaec du Gué, et suivie par Thierry Passebon, sont sans appels. En volume limité, les rendements sont altérés. Maïs, soja, sorgho, tournesol, luzerne et cipam, composantes de l’essai qui sera présenté jeudi 14 septembre par Aquanide et ses partenaires ont tous pour finalité de produire de la nourriture. Éléments d’une alimentation équilibrée, ces cultures ne peuvent se développer sans eau. « Précieuse, la ressource naturelle doit être utilisée avec raison. La stoker, comme chacun le fait pour arroser son potager l’été », précise Myriam Blanchard, membre de l’Adiv, « permet de concilier intérêts du milieu et exigences de production ».