Le viager: un contrat gagnant-gagnant
La vente en viager, libre ou occupé concerne moins de 1% du nombre de transactions dans l’ancien en France. Mais le phénomène est en croissance de 5 à 6% par an, en volume, depuis deux à trois ans.
La vente en viager, libre ou occupé concerne moins de 1% du nombre de transactions dans l’ancien en France. Mais le phénomène est en croissance de 5 à 6% par an, en volume, depuis deux à trois ans.
Si l’immobilier reste une valeur refuge, la vente en viager n’est pas une opération immobilière classique, « plutôt un contrat 2 en 1 » selon Philippe Texerault, viagériste d’Univers Viager pour la Vienne et les Deux-Sèvres qui explique : « C’est un contrat de vente d’un bien entre un vendeur (qu’on appelle le crédirentier) et un acquéreur (le débirentier) et dans le même temps, c’est un contrat de rente viagère, à vie. Le contrat de rente viagère est d’ailleurs dit « aléatoire » (Code civil, art. 1968 à 1983) parce qu’il est fonction de l’espérance de vie du vendeur.