Les livreurs de Riblaire veulent être force de négociation
En assemblée générale le 17 juin, l’OP association caprine Atlantique Poitou a évoqué ses moyens techniques et humains.
En assemblée générale le 17 juin, l’OP association caprine Atlantique Poitou a évoqué ses moyens techniques et humains.
Elle existait depuis près de vingt ans, elle n’est formalisée que depuis deux ans : l’organisation de producteurs de l’association caprine Atlantique Poitou (OP Acap) dispose désormais d’un budget (la cotisation est un prélèvement de 0,5 cts/1 000 l de lait) et d’une animatrice, Virginie Venot-Bonnet, pour travailler sur des thématiques importantes pour les éleveurs. Après une journée technique sur la géobiologie en 2020, l’OP se penchera sur les lactations longues et l’engraissement à la ferme lors de deux visites de fermes (une au nord 79, l’autre au sud) au cours de l’année 2021. « La crise du chevreau nous amène à réfléchir aux moyens de baisser le nombre de têtes dans un élevage par la lactation longue, et à générer davantage de valeur ajoutée par l’engraissement sur place », explique Dominique Manceau, président de l’OP et éleveur de 750 chèvres au Breuil-Bernard.