Cap protéines
L’herbe, un atout pour l’autonomie protéique
Dès la fin de l’hiver, on peut profiter de l’herbe, fourrage abondant, équilibré et peu coûteux quand il est pâturé.
Dès la fin de l’hiver, on peut profiter de l’herbe, fourrage abondant, équilibré et peu coûteux quand il est pâturé.
L’herbe peut être un levier efficace pour améliorer l’autonomie protéique. Avec 12 à 18 % de matière azotée totale, l’herbe des prairies est naturellement équilibrée pour l’alimentation des ruminants, de quoi répondre aux besoins des vaches laitières, qui demandent environ 14-15 % de matière protéique dans leur ration. Pour les bovins ou ovins allaitants, on est plutôt autour d’un besoin à 12-13 % de protéines et de l’ordre de 16-17 % pour les chèvres en lactation.
L’herbe pâturée coûte trois fois moins cher que l’herbe conservée ou que l’ensilage de maïs"