L’UGVC fait le bilan et voit plus loin
L’UGVC a fait un bilan de son action à l’issue des trois ans de mandature. Le conseil d’administration a été élu ce mercredi et se réunira le 1er juin pour choisir le bureau et un nouveau président. Stéphane Roy ne se représente pas.
À l’heure des bilans, il flottait le sentiment du travail bien fait le 18 mai au siège de l’UGVC à la maison de la viticulture à Cognac. Comme l’ont fixé les statuts du syndicat viticole, tous les trois ans le conseil d’administration et ses 54 membres répartis par crus et par collèges sont élus par les 325 délégués. Cette opération s’est déroulée le 24 mai à l’occasion de l’assemblée générale.
Le nouveau conseil d’administration se réunira le 1er juin pour élire le bureau et le président. Seule certitude, Stéphane Roy ne se représentera pas à la fonction. « Je suis très heureux d’avoir occupé cette place. C’est à la fois très prenant et passionnant. Je suis dans le syndicalisme depuis 2006. Je solliciterai une présence dans le bureau permanent, ne serait-ce que pour accompagner la nouvelle équipe ou suivre le dossier du Business plan dans lequel je me suis beaucoup impliqué », a confié l’intéressé avant de remercier l’ensemble des adhérents et tous ceux avec qui il a travaillé durant cette aventure.
Consolidation et développement
Accompagné d’Alexandre Imbert, le directeur, et d’Émilie Chapalain, responsable du pôle communication et développement, Stéphane Roy a fait un bilan des trois années écoulées. Une mandature riche en évolution et en changement. « Il y a eu un gros travail de consolidation et de développement. Les équipes ont changé. »
Avec l’arrivée d’Alexandre Imbert comme directeur en 2015, le syndicat a voulu se professionnaliser et renforcer son réseau d’influence au niveau national, et même européen. L’équipe a été restructurée. Elle est passée de 5 à 8 salariés avec trois pôles identifiés : juridique, communication et politique.
Le service juridique peut se targuer d’animer depuis l’an dernier un nouveau plan collectif de restructuration du vignoble dynamique puisque c’est le seul au niveau national dont le nombre d’hectares augmente chaque année avec 1 000 viticulteurs déjà engagés...
A lire dans notre édition du 25 mai, page 13.