Quand le Poitevin Saintongeais se chante
Depuis une vingtaine d’années, il donne de la voix et joue divers
instruments dans le
Poitou. Un talent que Mathieu Touzot a choisi de mettre au service du patrimoine local, en sortant un album en Poitevin Saintongeais
Dans la mésun d’Nené o sentait la fumaie» débute la chanson qui a donné son nom à l’album de Mathieu Touzot. L’artiste de Saint-Sauvant y raconte des souvenirs de la maison d’une grand-mère poitevine. Des gratons mangés au retour de l’école à la tapette à souris, en passant par la cage qui servait à protéger les fromages des mouches, c’est le quotidien du Poitou qu’on y retrouve. Le tout, en Poitevin Saintongeais. «Quand je chante en Poitevin, je vois que les gens réagissent. C’est souvent très émouvant de reconnaître des mots que les gens n’ont pas entendu depuis des années». De vraies madeleines de Proust pour les Poitevins qui rappellent souvent des moments d’enfance ou familiaux.
Retrouvez la suite de cet article en dernière page de Vienne Rurale du 2 novembre