Accueil de groupes et tiers-lieu
Quand les fermes s’ouvrent au monde
Delphine Georgelet, à Villemain, et Antoine Drapeau, à Nueil-les-Aubiers, ont tous les deux développé une activité de ferme pédagogique pour communiquer positivement sur leur métier. L’approche est différente mais l’ambition reste la même : lutter contre les idées reçues sur l’agriculture et expliquer son métier.
Delphine Georgelet, à Villemain, et Antoine Drapeau, à Nueil-les-Aubiers, ont tous les deux développé une activité de ferme pédagogique pour communiquer positivement sur leur métier. L’approche est différente mais l’ambition reste la même : lutter contre les idées reçues sur l’agriculture et expliquer son métier.
La Ferme Georgelet, à Villemain, une bulle de ruralité
Une bulle de ruralité, c’est un peu ce que veut proposer Delphine Georgelet avec son projet de ferme pédagogique, dont le programme est en cours d’écriture.
« Lorsque je monte à Paris, je me rends compte à quel point les citadins sont déconnectés des métiers du vivant. L’idée était de créer un espace où on reprend les bases de ce qui nous paraît logique ici, en Deux-Sèvres », retrace l’éleveuse caprine.
Son idée assez vague a croisé la route de celle, un peu plus concrète, de la Maison pour Tous (MPT) de Chef-Boutonne, de créer un tiers lieu. La rencontre s’est faite par hasard en fin d’année dernière avec Christelle Biet, la responsable de la MPT, et depuis, les choses sont allées très vite.