À Saint-Pardoux, Jonathan Morisset a le caprin dans les gènes
En 2024, Jonathan Morisset a repris une exploitation de polyculture-élevage à Saint-Pardoux-Soutiers, comprenant un troupeau caprin de haute valeur génétique.
En 2024, Jonathan Morisset a repris une exploitation de polyculture-élevage à Saint-Pardoux-Soutiers, comprenant un troupeau caprin de haute valeur génétique.

Mille fois mieux : Jonathan Morisset ne s'exprime pas avec demi-mesure quand il compare sa nouvelle vie de chef d'exploitation avec son précédent statut de salarié.
Le jeune homme s'est installé en janvier 2024, à 30 ans, en reprenant l'exploitation de Louis-Marie Russeil, et les terres et bâtiments de Philippe Michaud, à Saint-Pardoux. Il élève désormais 170 chèvres Saanen et 140 brebis vendéennes, sur 90 ha (dont 65 de SFP). Louis-Marie Russeil reste en tant que salarié jusqu'en septembre prochain.
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