Société
Sécurité et qualité : quand l’alimentation est souveraine
Penser la souveraineté alimentaire reste un exercice complexe. Le premier rendez-vous du mois de l’agriculture de Nouvelle-Aquitaine a eu lieu le 3 février pour tenter de trouver des pistes de réflexions.
Penser la souveraineté alimentaire reste un exercice complexe. Le premier rendez-vous du mois de l’agriculture de Nouvelle-Aquitaine a eu lieu le 3 février pour tenter de trouver des pistes de réflexions.
«Aujourd’hui, dans un monde qui bouge à toute vitesse, on doit réfléchir autrement ». Jean-Pierre Raynaud, président de l’Agence de l’alimentation de Nouvelle-Aquitaine (AANA) a ouvert, le 3 février, une conférence-débat intitulée « La souveraineté alimentaire, utopie ou réalité ? ». Un débat au cœur des évolutions de la société, selon Érik Orsenna, chercheur en solutions agricoles, écrivain et académicien. « La première des souverainetés est de savoir ce que l’on mange. Cela passe par le respect des métiers, des gens et des terroirs ».