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Tuberculose : « On a mis 40 ans de génétique à la poubelle... »

Touché par la tuberculose bovine, le GAEC laitier Chez Liotout à Blanzaguet espère revenir à une activité normale. Des mesures ont été prises, aussi bien pour accompagner l’élevage que pour empêcher la propagation de la maladie.

L’objectif de leur témoignage est de sensibiliser les éleveurs sur le risque. « Il faut se former, participer aux réunions, se rapprocher des services compétents », reprennent Stéphane et Michel Bessonnet.
L’objectif de leur témoignage est de sensibiliser les éleveurs sur le risque. « Il faut se former, participer aux réunions, se rapprocher des services compétents », reprennent Stéphane et Michel Bessonnet.
© A.V.

Le silence. Les bâtiments de Michel et Stéphane Bessonnet, éleveurs laitiers, au GAEC de Chez Liotout à Blanzaguet, sont vides de leurs vaches, qui ont été emmenées pour être abattues suite à un cas de tuberculose bovine : « Il n’y a plus d’animaux, plus d’insectes, plus un oiseau. Quand les vaches s’en vont, tout le monde s’en va. »Pourtant, le 27 juillet, tout allait bien. « On a fait faire la prophylaxie annuelle avec le stress qui va avec. Trois jours plus tard, on avait une vache douteuse. On se dit que ce n’est rien de grave, que ça arrive... On l’a fait abattre le 10 août et elle avait des lésions », raconte Stéphane Bessonnet. Les analyses confirment alors qu’il s’agit bien de la tuberculose bovine. Dans un premier temps, c’est le déni. « On ne comprend pas comment c’est possible. Les normes sanitaires sont scrupuleusement respectées et les vaches ne sortent pas du bâtiment, reprend Stéphane Bessonnet. Ici, on n’a pas acheté d’animaux depuis 25 ans. »

Retrouvez la suite de l'article dans La Vie Charentaise du vendredi 29 octobre 2021, disponible en kiosque et sur abonnement.

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