Maïs
Une installation poussive et une sécheresse marquée
Les températures en dessous des normales de saison en mai-juin ont ralenti l’implantation de la culture et favorisé sa fragilité face aux ravageurs. Ensuite, c’est la sécheresse et la chaleur qui ont impacté les rendements.
Les températures en dessous des normales de saison en mai-juin ont ralenti l’implantation de la culture et favorisé sa fragilité face aux ravageurs. Ensuite, c’est la sécheresse et la chaleur qui ont impacté les rendements.
Alors que la fin du mois de mars s’est révélée sèche et assez fraîche, limitant les possibilités de semis très précoce, avril a finalement été propice aux semis. Par la suite, les températures en dessous des normales de saison de début mai à mi-juin ont ralenti le développement du maïs au stade précoce. Des gelées ont même été enregistrées localement début mai, notamment sur les zones les plus continentales. Elles ont marqué les feuilles sans détruire les plantes mais ont accentué la lenteur d’installation de la culture. Cette fragilité a aussi augmenté l’exposition de la culture aux ravageurs en début de cycle.