Une production viable... mais toujours fragile
Bien que la conjoncture soit meilleure que dans d’autres productions, les interrogations se multiplient quant à l’avenir de la filière ovine, entre prix fluctuants, révision des zones défavorisées et conséquences du Brexit.
Daniel Gaillard ne s’en cache pas. Si son exploitation compte une cinquantaine de vaches allaitantes et 170 ha de céréales, ce sont bien ses 700 brebis qui lui permettent de dégager de la marge : « En ovin, si l’on maîtrise ses coûts de production et que l’on a une bonne productivité, on dégage du revenu. Le développement de nos filières qualité nous permet de garder une production viable », pose d’entrée le président du GIE Ovin du Centre-Ouest...
Lire notre dossier spécial ovin en pages 15 à 18 de la Vienne Rurale du 5 mai.