« On veut de la stabilité et de la visibilité »
Patrick Soury, secrétaire général de la FNO, Fédération nationale ovine, revient sur la première rencontre avec le ministre de l’Agriculture, Stéphane Travert, et la situation de la filière.
Comment s’est passée la rencontre qui s’est déroulée le 29 août entre la délégation de la FNO et le ministre de l’Agriculture et ses services ?
C’était une première prise de contact comme on a l’habitude de le faire avec les nouveaux ministres de l’Agriculture. On a présenté le fonctionnement de la FNO et les enjeux de la filière, ainsi que les points noirs sur lesquels on aimerait avoir des réponses. On a évoqué tout ce qui est prédation, bien évidemment, le Brexit et les négociations avec la zone Océanie, auxquels la filière ovine est particulièrement sensible. On a fait un point sur l’aide ovine 2017 en demandant que l’on fasse partie des ATR. On a aussi parlé de cette nouvelle aide ovine avec la rétropolation et la façon dont les services comptent gérer cela pour ne pas connaître les mêmes problèmes avec une aide ovine payée en décembre et apprendre un re-calcul au printemps 2017.