Agriculture durable
Agronomie : la féverole d’hiver fait voir l’avenir en vert
Portée par le négoce agricole Centre-Atlantique, la démarche vert l’avenir s’attelle à déployer des solutions environnementales depuis 2017. Parmi elles, l’implantation de la féverole d’hiver, accompagnée en Deux-Sèvres par les établissement Lamy-Bienaimé.
Portée par le négoce agricole Centre-Atlantique, la démarche vert l’avenir s’attelle à déployer des solutions environnementales depuis 2017. Parmi elles, l’implantation de la féverole d’hiver, accompagnée en Deux-Sèvres par les établissement Lamy-Bienaimé.
Cet automne, ou plutôt courant décembre, en raison d’une pluviométrie qui a perturbé les semis, 35 agriculteurs clients de l’entreprise de négoce Lamy-Bienaimé ont intégré de la féverole d’hiver à leurs assolements sur des zones de tests d’une dizaine d’hectares chacune environ, autour de Lusseray. « Cette légumineuse apporte une réponse globale aux attentes des agriculteurs et de la société », souligne François Gibon, directeur du négoce agricole Centre-Atlantique. Côté céréaliers et éleveurs, la féverole d’hiver permet de diversifier et d’allonger les rotations, ne nécessite pas d’engrais azoté et c’est une culture dont la conduite est plutôt simple à mettre en oeuvre, plus qu’un soja par exemple. « Nous avons choisi la variété Irena parce qu’elle présente le plus haut taux de protéines, soit 29 %, présente Cédric Clochard, technicien chez Lamy-Bienaimé.